« Mon bilan prévention » : trois questions sur ce nouveau dispositif de consultation gratuit.
Dans le cadre de « Mon bilan prévention », près de 21 millions de Français sont invités à prendre rendez-vous avec un professionnel de santé. Gratuit, ce nouveau dispositif est déployé par les autorités sanitaires, qui lancent lundi 9 septembre une campagne de communication grand public.
Annoncé par Emmanuel Macron en 2022, le nouveau dispositif « Mon bilan prévention » invite 21 millions de Français à prendre rendez-vous avec un professionnel de santé. Alors qu’une campagne de communication vient d’être lancée ce lundi 9 septembre 2024, Ouest-France vous détaille ce nouveau dispositif gratuit en trois questions.
Annoncé par Emmanuel Macron en 2022, le nouveau dispositif « Mon bilan prévention » invite 21 millions de Français à prendre rendez-vous avec un professionnel de santé. Alors qu’une campagne de communication vient d’être lancée ce lundi 9 septembre 2024, Ouest-France vous détaille ce nouveau dispositif gratuit en trois questions.
- En quoi le dispositif consiste-t-il ?
« Mon bilan prévention » est « une nouvelle étape dans la mise en œuvre de la politique de prévention en France », selon un dossier de presse commun regroupant le gouvernement, l’Assurance maladie, la Mutualité sociale agricole et Santé publique France.
Initialement attendu pour début 2024, ce dispositif expérimenté dans les Hauts-de-France a finalement été généralisé en juin, mais doit encore trouver son public.
Il doit permettre aux Français d’échanger avec un spécialiste de la santé (médecin, infirmier, pharmacien, sage-femme et prochainement masseur-kinésithérapeute) sur « sa santé et ses habitudes de vie ».
« Les questions d’alimentation, de sommeil, d’activité physique, de santé mentale, ou encore de santé sexuelle pourront être abordées au cours des bilans », indique le communiqué.
Annoncé par Emmanuel Macron en 2022, le nouveau dispositif « Mon bilan prévention » invite 21 millions de Français à prendre rendez-vous avec un professionnel de santé. Alors qu’une campagne de communication vient d’être lancée ce lundi 9 septembre 2024, Ouest-France vous détaille ce nouveau dispositif gratuit en trois questions.
- En quoi le dispositif consiste-t-il ?
« Mon bilan prévention » est « une nouvelle étape dans la mise en œuvre de la politique de prévention en France », selon un dossier de presse commun regroupant le gouvernement, l’Assurance maladie, la Mutualité sociale agricole et Santé publique France.
Initialement attendu pour début 2024, ce dispositif expérimenté dans les Hauts-de-France a finalement été généralisé en juin, mais doit encore trouver son public.
Il doit permettre aux Français d’échanger avec un spécialiste de la santé (médecin, infirmier, pharmacien, sage-femme et prochainement masseur-kinésithérapeute) sur « sa santé et ses habitudes de vie ».
« Les questions d’alimentation, de sommeil, d’activité physique, de santé mentale, ou encore de santé sexuelle pourront être abordées au cours des bilans », indique le communiqué.
- À qui le « bilan prévention » s’adresse-t-il ?
Ce dispositif propose à tout un chacun de prendre des rendez-vous réguliers « aux âges clés de la vie », « entre 18 et 25 ans, 45 et 50 ans, 60 et 65 ans, et entre 70 et 75 ans. »
La personne concernée peut alors s’adresser au spécialiste de son choix, qui doit être « volontaire » pour un « bilan prévention » de 30 à 45 minutes.
Le Haut conseil de la santé publique estime qu’il est, dès la majorité d’une personne, « important de prévenir et repérer la prévention des addictions et la détection des problématiques de santé mentale ».
- Quel est son objectif ?
Avec, à terme, quatre rendez-vous pris au cours de la vie de chaque personne, cet outil de prévention vise à répondre « aux nombreux défis sanitaires et sociaux tels que le vieillissement démographique ou encore les maladies chroniques », détaille le communiqué.
« Adapté aux besoins des Français et au plus proche de leurs attentes », il doit participer à la réduction « des inégalités sociales en santé ».
Chaque bilan est entièrement pris en charge par l’Assurance Maladie sans avance de frais.
Source : https://www.ouest-france.fr/